Martine Villette

Moi 1

En 1986, ma fille de trois ans sortait d’une grave maladie et je vivais des difficultés familiales. Avec mon compagnon, nous avons rencontré alors le «Djivana prana» au Centre du Cygne à Paris.

Il s’agissait d’une méthode de guérison par imposition des mains et une voie spirituelle à part entière. Pour passer notre premier degré, nous devions faire un stage de méditation d’une semaine. A ce moment là, quatre initiations menaient à ce qui correspond aujourd’hui aux deux premiers degrés. Il n’y avait pas de degré pour devenir praticien professionnel et encore moins  «Maître enseignant».

Nous cheminions sur cette voie  pour guérir nos vies, prendre soin de nos proches, ouvrir notre conscience et élever nos vibrations. Les symboles étaient secrets et sacrés. Nous étions invités à une pratique régulière de la méditation et au travail intérieur.

Depuis cet automne 86, cette pratique est devenue une compagne de route. Je m’en suis servie essentiellement pour ma famille et  mon entourage.

Dans les années 90, le Reiki s’est très vite répandu. Nous avons alors découvert que nous le pratiquions depuis plusieurs années.

En 2008, j’ai souhaité apprendre à enseigner à mon tour afin d’encourager les personnes à prendre soin de leur vie et de leur entourage. J’ai passé les 3e et 4e degrés après 22 ans de pratique.

Aujourd’hui, le Reiki s’inscrit dans une démarche d’autonomie et de transition.

 

 

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